« Lorsque j’ai pratiqué la greffe solaire sur la première cellule, j’ai vu cela comme une fine lamelle d’or que je glissais dans ma cellule.
Cette greffe solaire a irradié de la lumière tour à tour dans les différentes phases du développement du fœtus : l’amibe, le têtard, le poisson, le reptilien, le « cocorico ?».
J’ai senti que j’avais certaines caractéristiques de l’amibe (maigreur des bras peut être, recherche de nourriture) et plus encore du reptilien (besoins sexuels). Je me suis promis de dire « Non » à ces pulsions à l’avenir puisque j’ai maintenant conscience de leur provenance. Lorsque j’ai travaillé sur le reptilien, cela a irradié de la lumière dans tout mon crâne, comme si celui-ci était constitué de plaques. »