Il était une Foi, l’Amour

22.10

Catégorie : ISBN : 2-912677-11-4Date de parution : 11/1999Nombre de pages : 352

NM.Code 22

Un récit autobiographique hors du commun,
véritable traité alchimique d’Amour inconditionnel.
Un ouvrage de tantrisme de l’unité
où se mêlent Esprit et Matière.

Un livre exceptionnel
qui révèle le mystère de la Vie
et marie Science et Conscience.

Cette histoire est celle d’un Etre dans la matière de l’humain;
son nom dépasse la personne: il se nomme NM-Code 22.

Extraits

Extrait 1

Cette formidable expérience met à la conscience un principe nouveau dans la matière : Notre première génétique est visible, limitée et prisonnière seulement parce que les deux forces opposées sont homme et femme dissociés et désunis. Lorsque ces deux forces antagonistes, le plus et le moins, le mâle et la femelle se stabilisent, s’épousent, elles s’annulent et se transforment pour engendrer une matière invisible, parfaite, d’une autre structure, ainsi qu’un nouveau champ de cohérence, un autre système de pensée à la Lumière, à la conscience. Nous entrons ici-bas dans l’In-visible, l’In-audible, l’Impalpable, enfin visible, audible, palpable, l’Unité retrouvée, transmissible et partagée. Nous quittons le duel perpétuel pour retrouver l’Esprit – matière.

Extrait 2

L’ Époux dans l’ Épouse De lui à elle, d’elle à lui Elle : Mon époux est venu me chercher Par un chant pur, unique, Il m’a rappelé Le son pur, de l’amour parfait, absolu A nul autre pareil Je désire dormir avec Lui chaque nuit Afin que mes nuits soient égales aux jours. Être en-corps physiquement avec lui Et voir poindre l’aurore de la nouvelle matière.

Mon époux m’a réveillée d’un son pur Je Le reconnais à nul autre pareil. Je L’attends, de retour dans ma chair tout entière, Pour la rendre Lumière et pénétrer Sa demeure, Son royaume de paix, de bonheur.

Lui : J’ai posé sur vous ma belle Le sceau de ma destinée tout entière, cette ombre entre nous, afin de permettre Que la Lumière revienne sur la terre. J’ai posé sur vous mon Épouse Le sceau de l’ Éternel. L’ Époux en vous vient rassembler, réunir les morceaux De ma terre désunie, dissociée.

Ne crains point ma colombe Une nouvelle Ère, une nouvelle Ère va venir, Retournant à la transparence de la matière, A l’Amour pur originel, au son pur.

Elle : L’ Époux n’a point de forme Il est dans le sans-forme, Je veux bien mourir à moi-même Lui donner ma forme Afin qu’il prenne corps Ne craignant point la mort, Pour nous déjà vaincue, Puisque nous somme Un dans la Lumière.

Lui : Le temps est proche où tu mettras tout dans la Lumière Par ce Tout en toi de retour, Ma chair.

Extrait 3

Notre mental est malade. Il pense, décide, désire, ne cesse de jacasser au lieu de laisser le gouvernement supérieur de l’homme, l’Être de Lumière « voir » en lui, l’éclairer. La conscience cellulaire nous donne accès à ces mémoires enfouies dans nos cellules, qui déterminent certains comportements actuels, ces tabous incroyables cachés, masqués, cristallisés au creux du corps. L’Être veut venir et souffre de ce manteau, énorme à porter qu’il faut user pour devenir libre. Ce mental nous aliène, qui pense que…, croit que …, voit que…, projette que …, ne veut pas que…,s’oppose à…, bref, ce menteur qui opère la rupture ente l’Esprit et le corps.

Extrait 4

Aucun acte en vérité ne devrait être posé sans que l’on considère son prolongement, comme résonne une note de musique dans l’espace tout entier. Tant que nous ne nous relions pas à ces forces universelles cachées, en apparence, tant que nous ne quittons pas la structure figée pour une autre vision des choses plus mobile, nous sommes prisonniers de la lettre et perdons son caractère sacré et lumineux, le verbe ! Les deux plans, matière et Esprit, visible et invisible, s’engendrent et s’interpénètrent. Mais nous négligeons sans cesse un côté de la médaille et perdons du même coup la partie cachée de nous-même, celle qui nous relie à l’éther, l’indestructible merveille qui ne meurt pas, « le global dans le local » diraient les scientifiques. Oublieux de notre sens universel et cosmique, nous restons comme des petits enfants, aliénés au premier cordon ombilical organique. Inconscients, nous ne sommes pas libres d’occuper notre espace réel dans l’univers.

Extrait 5

Puis un jour on le sait, c’est le temps d’en finir avec tous ces plans, pour reconquérir la septième marche et se souvenir avec précision de la seule et unique raison qui nous amène sur terre, retourner à l’origine, nous délivrer. Et tout est d’avance accepté, choisi. On prend cette famille pour que cela soit ainsi. On prend ce mari pour régler nos « affaires » anciennes. Puis on se dit au revoir le moment voulu car une autre vie nous attend que nous avons ainsi méritée, que nous pouvons réaliser si nous le désirons vraiment. Nous pouvons vivre plusieurs vies sur terre. Il y a la vie à différents degrés, tout dépend des portes ouvertes et des mondes traversés. Et pourtant, la vie est une. Nous pouvons mourir plusieurs fois aussi…et revenir autrement, mais à la fin du voyage, il n’y a plus qu’une vie, la Réalité.
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