
S’aimer enfin dans l’infiniment petit, au cœur de « l’at-home », Dans une solitude immense devenue plénitude du Grand Tout. S’aimer et semer là où l’on s’aime, Au souffle du vent, À l’origine du temps, Quand l’antenne du temple Se refait « corps-cristal », Et tous les rituels redeviennent vivants,